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Prenons soin de nous !

Discriminations, violences médicales, refus de soin, mutilations : les difficultés rencontrées par les personnes LGBTI+ dans leur accès aux soins sont réelles et parfois dramatiques.

Les 7 témoignages vidéos de la campagne 'Prenons soin de nous !' viennent alerter les pouvoir publics et les institutions médicales sur le besoin de faire évoluer les pratiques afin d'assurer un accueil bienveillant et adapté aux personnes LGBTI+.

Dans ce contexte, les centres de santé communautaire LGBTI+ jouent toujours un rôle central pour permettre aux personnes LGBTI+ d'accéder aux soins dont elles ont besoin.

C'est le rôle et les évolutions de ces centres qui seront discutés lors de la conférence 'Santé LGBTI+ : Prenons soin de nous !' organisée à Bruxelles du 26 au 28 octobre 2023.

Découvrez les témoignages

Réalisation : Elisa Vdk, @elisavdk

Stephen

Stephen évoque la difficulté de faire son coming out auprès d'un médecin et d'établir une relation de confiance et de transparence avec les professionel·les de santé lorsque l'on est une personne LGBTI+.

Coralie

En tant que personne intersexe, Coralie témoigne des mutilations génitales dont elle a été victime à 16 ans dans le but de 'normaliser' son corps. 

Sofia*

Sofia* évoque les violences gynécologiques dont elle a été victime et la réaction de rejet d'un gynécologue lorsqu'elle a évoquée le fait d'être une femme lesbienne.

 

*Le prénom a été modifié. 

Stéphanie

Stéphanie, femme trans et autiste, témoigne de son errance médicale de plusieurs dizaines d'années avant de pouvoir enfin bénéficier des soins dont elle avait besoin. 

Sébastien

Sébastien, homme gay vivant avec le VIH, raconte comment il a été victime de sérophobie de la part de son médecin gastro-entérologue. 

Riley*

Riley*, personne queer et asexuelle, raconte ses difficultés après avoir suivi les conseils totalement inadaptés de sa gynécologue.

*Le prénom a été modifié.

Morgane

Morgane, femme lesbienne, raconte comment les préjugés d'une médecin généraliste sur la 

sexualité lesbienne ont entrainé un refus de lui prescrire les tests de dépistage aux IST dont elle avait besoin. 

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